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 WARDOG Datafiles

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Eames
Eames
U.S.S.
Messages : 33
MessageSujet: WARDOG Datafiles   WARDOG Datafiles Icon_minitimeJeu 16 Avr 2020 - 19:55



WARDOG Datafiles U_s_s11

U.S.S "ECHO TEAM" aKa "WARDOG"

Historique :

ECHO
ou "Wardog" est la cinquième unité d'intervention de l'Umbrella Security Service créée à la suite d'un audit de sécurité qui fût exigé début 1998 par certains actionnaires frileux de la société.

Cet audit portait sur la capacité de réponse interventionnelle d'Umbrella en cas d'incident impliquant une ou plusieurs armes biologiques. La réponse de la corporation fût jugée obsolète et inappropriée face aux dangers que représentaient les récents projets d'armes biologiques. Les cadres supérieurs de la branche sécurité furent licenciés et remplacés par des individus qui avaient pour objectif premier de dépoussiérer le schéma d'intervention de la corporation afin que la réponse opérationnelle d'Umbrella soit proportionnée aux menaces que représentaient leurs projets. Cette restructuration impliqua de profonds changements au sein de l'U.B.C.S et de l'U.S.S qui virent la création de nouvelles unités et l'allocation de moyens démentiels grâce aux ressources quasi illimités de la corporation.

Dirigée par Jane Ripley depuis le 11 Juillet 1998, cette unité de l'Umbrella Security Service, comme toutes les autres depuis leur restructuration, s'est vu dotée de nombreux spécialistes aux vocations complémentaires dans le but de former un groupe ultra-compétent et polyvalent.

Dans un soucis de confidentialité, les membres de Wardog ignorent tout des identités des uns et des autres. Pas de noms, ni de prénoms, seulement des indicatifs tactiques et des chiffres.


Dernière édition par Eames le Dim 19 Avr 2020 - 21:22, édité 3 fois
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Eames
Eames
U.S.S.
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MessageSujet: Re: WARDOG Datafiles   WARDOG Datafiles Icon_minitimeJeu 16 Avr 2020 - 20:00

Chronologie des activités de l'unité

04 Mai 1998 : Création de l'unité et assignation des opérateurs.

11 Mai au 18 Mai 1998 : Stage d'évaluation des capacités physiques et opérationnelles du groupe sur l'île de Rockfort en vue de sa projection sur le terrain.

11  Juillet 1998 : Assignation de Jane Ripley en qualité de chef de groupe opérationnel.


Dernière édition par Eames le Dim 19 Avr 2020 - 21:30, édité 6 fois
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Eames
Eames
U.S.S.
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MessageSujet: Re: WARDOG Datafiles   WARDOG Datafiles Icon_minitimeDim 19 Avr 2020 - 18:18




Composition de l'unité :



Jane Ripley "ECHO LEADER" aKa "MOTHER"

"CHEF OPÉRATIONNEL"

WARDOG Datafiles Ripley12

Née en 1964 et originaire de Seattle, dans l'état de Washington aux Etats-Unis, Ripley est divorcée et mère de deux enfants : Ethan et Lana.

Diplômée en 1986 d'un Bachelor Degree en Management obtenu avec une maîtrise en ressources humaines à l'université privée catholique de Seattle, Ripley décide d'un véritable virage à risque en s'engageant en tant qu'officier dans l'US Navy au sein de laquelle elle servi durant cinq années.

En 1991, décidée à construire une famille et un foyer, elle quitta l'arme après avoir rencontré son mari de l'époque avec lequel elle eu deux enfants. Durant cette période, Ripley enchaîna les petits boulots sans jamais trouver une activité qui parvienne à combler son goût de l'aventure. Ripley était née pour diriger, et jamais le milieu civil ne récompensa les années qu'elle avait sacrifié pour son pays. De plus en plus désagréable et irritable au sein du cercle familial, elle décida de reprendre sa vie en main et s'engagea, au grand dam de son mari, pour cinq années supplémentaires dans la Navy, toujours comme officier de bord.

Peu avant la moitié de son contrat, son mariage vola en éclat en raison des absences générées par ses nombreux déplacements sur les théâtres de conflits extérieurs. Fusionnelle avec ses enfants, malgré le peu de temps que son travail lui permettait de leur consacrer, ses repères volèrent en éclat lorsque son ex-mari en récupéra la garde exclusive, le tribunal ayant jugée qu'en sa qualité de militaire, Jane était incapable de subvenir aux besoins de ses enfants au quotidien. En 1996, elle renouvela tout de même son contrat dans l'armée pour une année supplémentaire, qui permit à ce que le bureau reconversion la mette en relation avec Umbrella Corporation, une société pharmaceutique qui recherchait activement des cadres de terrain pouvant justifier d'une  expérience militaire.

En Février 1996, Jane obtint un premier rendez-vous avec les ressources humaines de la corporation, elle y rencontra deux employés de la cellule recrutement et elle posa les bases d'un possible contrat au sein de la société. C'est un poste au Service de Sécurité d'Umbrella qui lui fût proposé, une entité qui n'était employée qu'en cas d'accident grave mais qui, en cas d'intervention, n'avait aucun droit à l'erreur. Le processus de recrutement dura de longs mois, Umbrella souhaitant éviter les erreurs de casting et c'est le 08 Juin 1996 que Jane signa finalement son contrat.

Entre 1996 et 1998, Ripley poursuivi une formation intense de deux années consécutives au terme de laquelle lui serait confiée une unité de l'Umbrella Security Service. Non contente de perfectionner son aptitude à commander, cette formation lui permit également de devenir un véritable opérateur dont les compétences n'avaient rien à envier à ceux qui servaient au sein des forces spéciales les plus prestigieuses de la planète.

Umbrella fît absolument tout pour faire de cette mère possessive, une guerrière laconique avec un sens aiguisé du commandement. L'indicatif tactique "MOTHER" lui sera attribué en raison de l'attachement qu'elle porte à ceux qui servent sous son commandement.

Sûre d'elle et dotée d'un charisme naturel, Ellen est en outre l'incarnation d'une main de fer dans un gant de velours. Toutefois, elle était loin d'imaginer que dans les mois à venir, elle perdrait bien plus que ses enfants.




Anselme Magnard "ECHO DEUX" aKa "GHOST"

"SPÉCIALISTE SURVEILLANCE"

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Anselme Magnard est né en 1966 en banlieue parisienne dans laquelle il y passa toute son enfance. D'un naturel colérique et doté d'un caractère très fort dès le plus jeune âge, le garçon multipliait les bagarres dans la cour de récréation. Cette propension à la violence lui causa de nombreux troubles dont certains se résolurent au palais de justice. Anselme n’écopa jamais d'une peine de privation de liberté mais surfait toutefois sur la ligne rouge. Son seul exutoire fût le Muay-Thaï, discipline dans laquelle il excellait.

Dès sa majorité, en 1984, Anselme s'engagea dans l'Armée de Terre française. A la fois très sportif et d'une présentant une incroyable rusticité il réussi les pré-sélections avec l'aptitude "Forces Spéciales". Quelques entretiens individuels plus tard, il se retrouva à signer son contrat au 13ème Régiment de Dragons Parachutistes à Martignas-sur-Jalle. Commença alors pour Anselme une formation initiale de 18 mois aussi intense qu'épuisante à l'issue de laquelle, en 1985, il fût breveté parachutiste, effectua un  stage d'intégration aux forces spéciales et de préparation à la filière recherche aéroportée, puis enfin la formation recherche aéroportée -spécialité observateur en équipe de recherche.

Au cours de ses dix années de services, Anselme, en plus d'avoir passé avec succès la qualification tireur de précision, participa à un grand nombre d'opérations extérieures et c'est tout naturellement que peu avant la fin de son contrat, Umbrella Corporation, en quête de nouveaux collaborateurs pouvant justifier d'une expérience militaire conséquente, le démarcha grâce à la coopération du bureau reconversion du régiment. Il fût tout d'abord recruté en vue de lui attribuer le commandement d'une unité de l'Umbrella Security Service, une proposition qui flatta l'égo surdimensionné d'Anselme. Toutefois, après les nombreux entretiens psychologiques auxquels il se soumis, il s'avéra que son caractère tranché et le peu de considération qu'il avait pour ses subordonnés étaient incompatibles avec la manière de commander d'Umbrella.

En effet, les unités de l'U.S.S étaient des nids à talents, chaque membre du service de sécurité de la corporation avait ce quelque chose qui le rendait extraordinaire, car Umbrella ne désirait que le meilleur. De ce fait, il était nécessaire que les chefs appelés à diriger ces unités sachent faire preuve de souplesse avec leurs hommes. Une chose dont Anselme était incapable car beaucoup trop conditionné par l'armée et sa hiérarchie encline à dévaloriser et écraser les échelons inférieurs. De plus, Anselme était profondément antipathique, d'un naturel solitaire et n'inspirait aucun charisme particulier, qualité pourtant essentielle pour un chef.

Il intégra finalement l'U.S.S "ECHO TEAM" en qualité de spécialiste surveillance et reçu l'indicatif tactique : "GHOST". Son rôle était d'assurer la progression du groupe par une action d'appui permanente tout en prenant en compte l'environnement, en mesure de traiter la moindre anomalie décelée. Il est binômé avec Eames, le spécialiste reconnaissance et renseignements.

Magnard pensait avoir tout vu au cours des nombreuses années sur les théâtres d'opérations extérieures et il était loin de sous-estimer la menace que représentaient les armes bio-organiques. Toutefois, comme se plaisait à dire les anciens aux nouvelles recrues dans l'armée... "Personne n'est jamais vraiment préparé" et si Anselme pensait ne plus jamais pouvoir connaître la peur, les événements qui suivirent eurent tôt fait de le faire descendre de son piédestal.





Noa Abbas "ECHO TROIS" aKa "MIRAGE"

"SPÉCIALISTE MÉDECINE DE TERRAIN"

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Noa Abbas est née en 1969 à Tel-Aviv en Israël, docile et studieuse, elle reçu une éducation exemplaire de la part de ses parents. Petite fille déjà, Noa était un rayon de soleil pour son entourage, ses lèvres étaient toujours bardées d'un merveilleux sourire et rien ne semblait pouvoir entacher la bonne humeur d'une petite fille que même ses parents n'osaient disputer. Dénuée de tout instinct calculateur, elle n'abusa jamais de son aura pour abuser de ses proches et, appréciée de ses camarades et de ses professeurs tout le long de sa scolarité, tout prédestinait cette incroyable jeune fille à un avenir radieux.

Malheureusement, Tel-Aviv ne représentait guère la réalité de la vie en Israël, et le conflit Israélo-Palestinien confronta très vite les rêves de la jeune fille à une réalité plus abrupte et dénuée de filtres.

En 1987, Noa fût appelée pour le "Sherout Leoumi", une option de service national pour les jeunes filles religieuses âgées entre 17 et 24 ans. Déterminée à travailler dans le médical, elle lia l'utile à l'agréable en préférant intégrer un établissement de soin en tant qu'auxiliaire médicale plutôt que Tsahal et son service militaire. Cela lui permit de travailler dans un domaine d’intérêt qui lui tenait à cœur, tout en étudiant un potentiel chemin de carrière. L'objectif restait clair pour la jeune fille : à l'issue de son service elle entamerai des études en médecine, ne restait plus qu'à savoir si elle se spécialiserai ou non. Tous les citoyens israéliens sont tenus de servir dans Tsahal, Or, Noa portait ce conflit en horreur et se refusait à manier une arme. Il était également inconcevable pour elle d'ôter la vie à quiconque. Afin d'accomplir le Sherut Leumi, elle demande et reçu une exemption religieuse. La jeune femme fût affectée aux urgences du "Shaare Zedek Medical Center", l'un des hôpitaux majeurs de la ville sainte, établissement au sein duquel elle effectua dix mois de son service.

A son grand dam, elle fût envoyée en Palestine pour les deux derniers mois, à l’hôpital arabe de Makassem, dans la banlieue est proche de Jérusalem. La jeune fille fût détachée avec plusieurs autres personnels soignants. Cette initiative du gouvernement avait pour objectif de lisser les relations entre les deux états en proposant aux palestiniens une aide médicale et un meilleur accès aux soins. Confrontée à la méfiance et à la haine que leur vouait un peuple qui combattait le sien depuis de longues décennies, l'anxiété et la peur prirent le pas sur sa motivation et le professionnalisme dont elle faisait jusqu'à présent preuve. Noa développa une sorte de psychose et de délire paranoïaque qui la poussa à rédiger plusieurs lettres à la direction de son établissement de rattachement dans le but d'être rapatriée. Elle n'obtint jamais aucune réponse.

Peu avant la fin de son service, un commando armée du Fatah pénétra l'établissement avec pour objectif d'éliminer l'équipe médicale israélienne. Un véritable cauchemar débuta alors pour Noa. Le commando débarqua en salle de pause et tua plusieurs de ses collègues et amis. La lâcheté de la jeune femme pris le dessus et lui sauva la vie, elle feint la mort en se laissant tomber parmi les cadavres ensanglantés et tandis que l'hôpital était évacué, et que le reste de l'équipe était traqué par le commando, elle demeura au sol de longues heures, allant jusqu'à se barbouiller du sang des corps encore chauds pour peaufiner son subterfuge, dans l'attente d'une équipe de secours qui ne viendrai jamais. Les autorités, de mèche avec le groupe responsable de l'attaque mirent tout en oeuvre pour retarder l'intervention d'Israël.

Livrée à elle-même, et, malgré sa récente fragilité psychologique, Noa fît preuve d'un étonnant instinct de survie. Elle se convainquis finalement qu'il lui était impossible de se laisser mourir dans cet endroit et tenta le tout pour le tout. Se saisissant d'un couteau qu'elle  jura de ne jamais utiliser, la jeune femme se fraya un chemin dans les couloirs de l'établissement de soin. Malheureusement, elle se retrouva nez à nez avec l'un des meurtriers enturbanné. Ce dernier la saisit par les cheveux et la roua de coups. Les connexions neuronales de Noa semblèrent disjoncter,et, renonçant à la promesse qu'elle s’était faites, refusant de laisser cet homme lui ôter la vie, elle enfonça la lame du couteau dans la cuisse de son bourreau pour finalement s'échapper, non sans recevoir une balle dans l'épaule au cours de sa fuite.

A bout de souffle, et souffrant le martyr, Noa se cacha dans une chambre de soin. Toutefois, son assaillant ne tarda pas à la retrouver, il était aisé pour lui de la traquer dans le dédale de couloirs en raison des projections de sang qu'elle avait laissé échappé dans son sillage. Il attrapa la jeune femme cachée sous le lit d'hôpital et s'apprêta à l'abattre d'une balle. Mais, remarquant que son assaillant avait laissé le couteau dans la plaie, probablement pour éviter d'aggraver la blessure et l'hémorragie, elle s'en saisit. La jeune femme lui l'enfonça cette fois-ci dans les parties intimes. Le palestinien lâcha son arme de poing, Noa s'en saisit et pris une nouvelle fois la fuite, se refusant à l'abattre.

Elle agonisa le reste de la journée dans un casier, terrassée par une douleur qu'elle étouffait au plus profond d'elle-même et ne fût retrouvée qu'au cours de la nuit par les militaires de Tsahal, dans un état proche du coma. En état de choc, traumatisée par la sauvagerie dont elle avait été témoin et avec une blessure gravement infectée, Noa sera soignée, puis placée quelques mois en unité de suivi psychiatrique spécialisée dans les pathologies liées au stress post traumatique.

Étonnamment, Noa, dont l'âme semblait pourtant brisée, récupéra rapidement ses facultés intellectuelles ainsi que son équilibre psychique. Elle réintégra la vie active début 1988 après avoir suivi un cycle de rééducation pour son bras, puis fût acceptée à l'université de Tel-Aviv pour suivre son cursus de médecine.

Huit ans plus tard, en 1996, elle obtint son doctorat et postula chez Umbrella Corporation. L'expérience particulière qu'elle vécue durant son service national fût l'objet de plusieurs entretiens de gestion. La corporation peinant à mettre la main sur des médecin qualifiés et forts d'une expérience militaire, le recruteur fît l'impasse sur ce dernier prérequis et proposa à Noa d'intégrer l'île de Rockfort pour suivre le stage de préparation opérationnelle de l'Umbrella Security Service. Elle accepta malgré une certaine réticence à l'idée de manier des armes à feux.

Clairement désignée comme le maillon faible de son stage, Noa, après une entrée en matière catastrophique en raison de son niveau physique insatisfaisant et de l'absence d'expérience militaire, fini par impressionner ses instructeurs par sa force de caractère et sa volonté à toute épreuve. En effet, l’israélienne souffrait et endurait les aléas du stage sans broncher, n'ayant qu'une chose en tête, faire tout ce qu'elle avait toujours su faire dans sa vie : donner le meilleur d'elle-même pour atteindre l'excellence.

Noa ne brilla peut-être pas autant que ses autres équipiers, mais elle fît mieux que ce que pouvait imaginer l'administration de la part d'une recrue issue du civil. De plus, son incroyable capacité à gérer le stress dans le cadre de la dispense des premiers soins ou du traitement d'une blessure sous le feu fît forte impression. Elle excellait dans sa spécialité, et c'est tout ce qu'on attendait d'elle.

En Mai 1998, Noa intégra finalement l'U.S.S "ECHO TEAM" sous l'indicatif tactique "MIRAGE" en qualité de spécialiste médecine de terrain. Son rôle était clair, assurer la survie du groupe et le traitement des blessures les plus graves.

Seulement, Noa ne se rendit compte que bien trop tard qu'une balle dans la tête demeurerai le traitement le plus efficace pour les blessures serai amenée à soigner.




Kyler Murray  "ECHO QUATRE" aKa "MARSHAWN"

"SPÉCIALISTE EFFRACTION ET DÉMOLITION"

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Kyler Murray, de nationalité américaine, est né en 1974 à Los Angeles dans l'état de Californie. Turbulent et hyperactif, ses parents l’inscrivirent au Football dès qu'il fût en âge d'en porter l'équipement. En grandissant, Kyler démontra d'impressionnantes capacités physiques et c'est tout naturellement qu'il s'orienta vers une carrière de joueur universitaire. Il intégra l'université d'état de l'Ohio suite à son recrutement par l'équipe éponyme. En parallèle, il suivit un cursus de préparateur sportif. Running Back de talent, sa carrière s'arrêta brusquement suite à une violente commotion cérébrale qui le plongea dans le coma durant une semaine.

Chanceux dans son malheur, son cerveau ne sembla pas avoir subi de dommages supplémentaires. Malgré tout l'amour qu'il portait pour la ballon ovale, il se résigna à raccrocher les crampons et se concentra sur ses études.

En 1993, il décida d’opérer un virage à 180 degrés, rentra à Los Angeles et intégra la LAPD. Kyler étant un compétiteur dans l'âme, repoussant toujours les limites de ce qu'il lui était possible d'accomplir, il fût retenu pour passer les tests de sélection de l'antenne SWAT qu'il rata une première fois. Murray retenta sa chance six mois plus tard et sa persévérance fût récompensée.  

Au cours des deux années qui s'écoulèrent, il se spécialisa dans le de domaine des effractions. Son travail consistait la plupart du temps à détruire portes, fenêtres et murs à l’aide de charges explosives pesées au milligramme près afin de ne pas blesser les opérateurs ou des d’éventuels otages. Murray était un véritable maîtres artificiers capables de concilier puissance de frappe et finesse de dosage afin de pénétrer un bâtiment en limitant les dégâts et en étourdissant quelques secondes une ou plusieurs cibles. Formex, Decoupex, Semtex ou Trinitrotoluène (plus couramment appelé TNT) aucun composant explosif n’avait plus de secret pour lui.

En 1996, alors que nombres de ses collègues quittaient l'unité pour travailler au sein de sociétés militaires privées ou dans le secteur de la protection rapprochée, Kyler chercha lui aussi à changer d'air. Umbrella Corporation attira son attention et il fût bien vite convoqué pour des entretiens d'embauches.

Son expérience au sein du SWAT, sa force physique et ses connaissances approfondies dans le domaine des effractions étaient des atouts non négligeables pour le Service de Sécurité d'Umbrella. L'annonce d'une formation intense de deux années représentait le plus grand des défis aux yeux de Kyler, et c'est sans hésiter qu'il donna son accord.

Malgré l'impulsivité dont il pouvait parfois faire preuve, Kyler fût reconnu comme l'un des meilleurs stagiaires, à tel point que les instructeurs consentirent exceptionnellement à le former à la démolition d'objectif, faisant ainsi de Kyler le premier opérateur de l'U.S.S à la double spécialisation. Son expertise hors du commun allait désormais servir l'U.S.S "ECHO TEAM" également appelée "Wardog". Il reçu l'indicatif tactique "MARSHAWN" et intégra l'unité en Mai 1998.

Malgré la somme impressionnante de ses compétences, les événements de l'été 1998 représenteront pour Kyler le dernier des défis.




Maria Cruz  "ECHO CINQ" aKa "CROSS"

"SCIENTIFIQUE DE TERRAIN"

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Né en 1968 à La Paz, au Vénézuela, Maria Cruz est une scientifique d'Umbrella Corporation détachée au profit de Wardog.

Umbrella protège jalousement les données personnelles concernant l'agent Cruz mais il semblerait qu'elle ai vécu dans la précarité une grande partie de son enfance dans la capitale vénézuélienne, ne devant sa survie qu'à l'argent rapporté par le prostitution de sa mère pour un cartel, son père les ayant abandonné dès l'annonce de la grossesse. Sa mère, incapable de subvenir à leurs besoins, fît de même.

Les circonstances de sa rencontre avec Umbrella Corporation ne sont pas très claires, mais toujours est-il que lors d'un voyage à La Paz, une équipe de scientifique de la société au parapluie ramena l'enfant jusque Raccoon City pour la placer dans l'orphelinat municipal.

Maria eût accès à l'éducation et se révéla d'une nature curieuse qui l'orienta naturellement vers une carrière scientifique dès ses 18 ans. La jeune femme poursuivi un cursus d'étude privé mis en place par la Corporation, dans le but d'obtenir un doctorat et un poste dans la société à l'issue. Maria décroche finalement son diplôme en 1994 avec une maîtrise en virologie. Elle est embauchée dans la foulée au sein de la corporation et se retrouve affectée au laboratoire de l'Arklay sous le manoir Spencer. Cruz travaillera sur le projet Epsilon, une variante du Virus-T jusqu'en 1996, date à laquelle elle répondit à un appel à volontaire demandant de rechercher parmi les personnels scientifiques des différentes installations de recherches d'Umbrella, des membres volontaires pour intégrer les équipes de l'Umbrella Security Service en qualité de scientifique de terrain. Comme tout agent du service de sécurité de la corporation, elle fût convoquée à de nombreux entretiens ayant pour but de déterminer ses motivations et sa compatibilité psychologique avec le métier d'un agent de terrain.

Peu avant le mois d'avril 1996, Maria fût retenue pour suivre un stage de formation spécifique et différents de celui suivi par les autres opérateurs de la branche de sécurité de la corporation. Ce stage, réservé aux volontaires scientifiques pour intégrer les unités de terrain, différait de par le fait que ses stagiaires n'avaient aucune expérience du combat. Toutefois, cette variante du stage USS est réservé aux employés d'Umbrella, raison pour laquelle Noa Abbas n'y participa pas.

Au mois de Mai 1998, Maria Cruz fût brevetée opérateur de l'Umbrella Security Service, reçu l'indicatif tactique "CROSS" et intégra l'U.S.S "ECHO TEAM" en qualité de scientifique de terrain. Son objectif était double : Maria devait évaluer les capacités des armes bio-organiques rencontrées en opération et ensuite rassembler le maximum de données de combat les concernant.

Malheureusement, lorsque le groupe découvrira que Maria, tenue au secret par une clause de son contrat, avait connaissance des projets d'Umbrella, de terribles dissensions feront leurs apparitions.

[Ressource inaccessible pour le moment]  "ECHO SIX" aKa "EAMES"

"SPÉCIALISTE RECONNAISSANCE ET RENSEIGNEMENT"

WARDOG Datafiles Eames313

Né en 1977 au Royaume-Unis, celui que l'on appelle "Eames" grandit à Mayfair, un quartier chic de la capitale britannique constitué de maisons mitoyennes datant de l’époque géorgienne, d’hôtels de luxe et de grands restaurants gastronomiques mais également de zones commerçantes hauts de gammes où boutiques indépendantes, magasins de vêtements sur mesure de renommées mondiales et pubs traditionnels contribuent à l’animation et la fréquentation de cet arrondissent huppé de « The Old Smoke ».

Enfant unique d’un couple banal mais aux comptes en banque pleins à craquer, Eames eût une enfance sans histoire et ne manqua de rien durant se jeunesse. Sérieux et appliqué, il ne connût pas de difficultés particulières au cours des différents cycles d’enseignements, et il ne brilla pas non plus. Il obtint avec des résultats tout à fait honorables le « General National Vocational Qualification », puis le « A Levels ».

Dès qu’il pût monter à cheval, ses parents l’initièrent à l’équitation. Eux-mêmes cavaliers, c’était une tradition partagée par les deux familles que de transmettre les valeurs de cette pratique sportive aux générations amenées à leur succéder. D’un naturel sensible, et capable d’une rare empathie, Eames y trouva son compte et valida brillamment unes à unes les nombreuses certifications qui jalonnent le parcours d’un cavalier. Excellant dans chacune des disciplines qui composent cette activité, il voua toutefois une véritable passion pour le saut d’obstacle et le garçon aurait été tout à fait à même de vivre de sa passion en embrassant une carrière de sportif de haut-niveau.

C’est un chemin tout autre que choisit Eames lorsqu’il souffla enfin sa dix-huitième bougie. Une éducation conservatrice et stricte peut parfois avoir l’effet inverse de celui désiré, et si ses parents envisageaient pour lui une carrière dans la finance ou le droit international, c’est la porte d’un centre de recrutement des armées que poussa celui qui allait devenir la brebis galeuse de la famille. L’armée, c’est pour les bons à rien, comme s’évertuait à lui répéter son cher père.

La vie de prince, Eames y avait goûté et avait tiré parti des avantages que lui procurait cette situation, mais à l’aube de l’année 1995, l’envie de servir son pays et la promesse d’une aventure humaine était plus forte que tout.  
C’est l’année 1995 qui amorça la transformation de garçon à qui tout aurait pu réussir. Le jeune homme instruit et bien éduqué qu’était Eames ne se doutait pas encore qu’en l’espace de trois ans, il puisse avoir autant de sang sur les mains et de crimes à se faire pardonner.

Eames signa son contrat de militaire du rang début d’année 1995 et entame une formation initiale intense et rustique de 23 semaines au camp militaire des régiments d’infanterie de Catterick dans le North Yorkshire.

L’armée était une fabuleuse entité capable de rassembler les hommes issus de toutes les couches de la société sans distinction d’origine ou de classe sociale. Une école formidable mais impitoyable qui Au cours de ces 23 semaines interminables on lui inculqua le sens de la cohésion, du courage, du devoir, de la discipline, de l’intégrité et de la loyauté envers ses chefs. 23 semaines passées à se faire malmener par un encadrement intraitable qui lui démontra qu’un corps brisé n’avait rien de comparable avec un esprit en miettes. 23 semaines durant lesquelles on lui enseigna à se comporter en soldat. Il découvrit la survie en milieu hostile et naturel, coupé de toute logistique, le maniement des armes à feu et les procédures d’ouverture du feu. 23 semaines qui achevèrent de faire du cavalier prodige, un soldat.

La cérémonie de fin de stage, auquel il ne convia pas ses parents, acheva la transformation du cavalier prodige en soldat.

Celui qui est seul peut souffrir de ne pas être avec les autres, ou bien il est heureux en se disant que « Mieux vaut être seul que mal accompagné ». Cette fierté c’est la sienne, et il était inconcevable que ses parents gâchent par leur hypocrisie et leurs préjugés conservateurs, le caractère solennel de la magnifique cérémonie qui se déroula à l’aube de l’été 1995 et à l’issue de laquelle il se retrouva affecté au 1er Bataillon du Régiment Royal Irlandais (Royal Irish Regiment) basé à Tern Hill en Angeleterre.  

Eames coupa définitivement les ponts avec sa famille lors de son départ pour le régiment.

Le « Royal Irish Regiment » était un jeune régiment d’infanterie de ligne créé en 1992 et issu de la fusion entre deux corps d’armées : les « Royal Irish Rangers » et le « Ulster Defence Regiment ». Il était composé de deux bataillons en Angleterre assurant les permanences de projection à l’étranger, et d’une dizaine d’autres bataillons en Irlande du Nord, composés de locaux. Le régiment était particulièrement sollicité par le contexte irlandais tendu et le 1er bataillon assurait la projection de militaires en Ulster, relevés tous les trois mois. Il fût également projeté en Bosnie-Herzégovine durant le deuxième semestre de l’année 1995.

C’est donc dans un contexte particulier qu’Eames posa ses valises au 1er Bataillon. Entre les relèves en Irlande du Nord, les rotations imprévues dans certains territoires outre-mer et plus récemment l’intervention des forces de l’Alliance Atlantique dans le conflit bosnien, le régiment était sur les rotules et ses effectifs, éclatés aux quatre coins du globe.

Eames fût projeté avec sa section en Bosnie-Herzégovine moins de deux mois après son arrivée au régiment. La projection de nouvelle recrue faisait l’objet d’un encadrement très strict et la plupart du temps, les nouveaux venus se retrouvaient « au dépôt » pendant de longs mois, le temps d’assimiler le métier. Toutefois, le rapatriement de nombreux blessés força le commandement à s’adapter aux circonstances particulières de cet engagement opérationnel hors du commun. La section à laquelle appartenait le jeune homme fît donc parti de la relève trimestrielle.

En plus d’avoir été pris sous le feu à plusieurs reprises entre le mois de Juin et Août 1995, Eames participa à l’opération « Deliberate Force » qui consista au bombardement des positions militaires de l’armée  de la république serbe de Bosnie. Là encore, les forces de l’OTAN furent prises à parti après le déploiement de forces armées sur les territoires bombardés. Début octobre, les négociations sont entamées dans le but d’obtenir un cessez-le feu, toutefois, le processus semble piétiner du pied et la compagnie à laquelle est affectée Eames est prolongée sur le terrain jusqu’à la fin des négociations. Le 5 Octobre, le président américain Clinton annonce que les belligérants bosniaques ont conclu un accord de cessez-le feu pour une durée de soixante jours à compter du 10 Octobre. La compagnie de combat est voit sa durée de stationnement prolongée jusque cette date, puis est finalement relevée par la compagnie d’un autre bataillon.  

Ces quatre mois en Bosnie-Herzégovine laissèrent un goût amer et marquèrent son âme au fer rouge. Le souvenir des nombreuses exactions perpétrées contre les populations civiles, des charniers découverts dans le sillage des « Scorpions » et des nombreuses escarmouches auxquelles il prît parti déclenchèrent chez lui les premiers symptômes de ce qui sera diagnostiqué plus tard comme un stress post traumatique. Malheureusement, plutôt que de consulter un médecin de l’antenne médicale, Eames préféra garder pour lui les cauchemars qui hantaient ses nuits. Petit à petit, il sentait la naissance d’un étrange ressentiment au plus profond de lui-même.

En Janvier 1996, Eames fût projeté à Belfast, en Irlande du Nord. L’ingérence de l’OTAN dans le conflit bosniaque occupait souvent son esprit et balayait petit à petit tous les idéaux d’un jeune homme qui voyait ses repères sombrer.

Lors des relèves en Ulster, les militaires assistent systématiquement à de nombreuses réunions d’informations portant sur la situation générale dans leur secteur d’affectation, le danger que représentait l’adversaire ainsi que les différentes formes qu’il pouvait prendre. Malgré cela, Eames, lors de la traditionnelle tournée des bars du jeudi soir,  croisa le chemin de Sean O’Brien. Ce dernier se révéla faire partie de l’IRA et, l’alcool déliant les langues, après que Eames  ai confié ce qu’il avait traversé en Europe de l’Est l’année précédente, profita de la situation. Eames, tenu par un contrat de 3 ans, ne pouvait pas quitter l’armée,  mais l’irlandais lui fît la promesse d’une nouvelle vie loin du Royaume-Unis en échange de renseignements sur les activités britanniques à Belfast.

Horaires et itinéraires de patrouilles, transmissions de fréquences radios et vols de matériels de communications, Eames fît même entrer un agent de l’IRA au sein de sa base d’affectation. Pour chaque action entreprise pour le compte des républicains, Eames se faisait non seulement graisser la patte à hauteur d’un millier de livres sterling, mais il s’approchait également un peu plus à chaque fois d’un nouveau départ.

Mi-Mars, alors que la relève approchait, Eames rencontra O’Brien et réclama sa part du marché, à savoir son expatriation. O’Brien lui demanda un dernier service. Certains soldats anglais prenaient plaisir durant leurs patrouille à séquestrer et passer à tabac des locaux dans l’impunité la plus totale. Eames avait 10 jours pour les retrouver et fournir à l’IRA des informations permettant de les appréhender, sans quoi, il retournerai à Tern Hill lors de la relève trimestrielle.

Vexé d’avoir l’impression d’être mené en bateau, Eames ne garantit aucun résultat à l’irlandais et rentra en ville. Le soir-même, lors d’une soirée trop arrosée à la popote de la compagnie, Eames ayant l’alcool mauvais se retrouva à se battre avec un de ses camarades. Les deux hommes furent séparés avant qu’Eames ne soit définitivement défiguré. « Regarde-toi fiston », lui fît le gradé qui venait de mettre fin à la rixe. L’adversaire d’Eames ricana, essuyant sa bouche ensanglanté avant de déclarer « Une vraie gueule brisée. ».

C’est de cette manière que le jeune homme originaire de Mayfair apprit l’existence d’un club de combat clandestin « Les Gueules brisées ». Le sous-officier supérieur ne sembla pas gêné de lui apprendre qu’ils étaient à l’origine des rafles dont lui parlait O’Brien, ce qui d’ailleurs ne sembla déranger personne à la Compagnie. « Pas vu, pas pris » lui avait-il déclaré.

Sans foi, ni loi, Eames livra les Gueules brisées à l’IRA, puis obtint son ticket pour les Etats-Unis. Malheureusement, comme il s'en doutait, l’irlandais n’avait pas été totalement franc avec lui et à trois jours de la relève, O’Brien lui demanda de supprimer un journaliste local gênant. C'en était trop. Eames refusa de se salir les mains pour un autre mais l’irlandais nelui laissa pas le choix. Il séquestra le militaire et le drogua à l’aide d’une substance appelée le « Souffle du Diable », un mélange de deux substances dont l’inhalation provoque une perte de contrôle et de la mémoire. Eames, dans un état secondaire, fût déposé par l’IRA au domicile de sa cible et fût contraint de l’éliminer sous les yeux attentifs d’O’Brien qui se décida enfin à honorer sa part du marché.

Poursuivis par la police locale après le meurtre, O’Brien et Eames trouvèrent refuge dans l’une des nombreuses cachettes de l’IRA. Tandis que l’anglais était toujours sous les effets du puissant psychotrope, O’Brien le confia à un agent de la branche européenne d’Umbrella. La Corporation avait les yeux partout, en plus de tremper dans le conflit, et l’efficacité d’Eames pour la recherche du renseignement et la basse besogne ne leur échappa pas.

Effectivement, Eames quitta clandestinement le Royaume-Uni à bord d’un cargo de fret mais il réalisa très vite que sa fuite tenait bien plus de l’enlèvement, car c’est contre son gré qu’il débarqua sur l’île de Rockfort.  A son arrivée, il eût le choix. Servir les intérêts de la corporation ou mourir.  Le constat était sans appel, et Eames se résigna à accepter de travailler pour cette société dont il n’avait jamais entendu parler.

Manipulations génétiques, virus mortels et armes biologiques étaient des notions qui lui étaient totalement inconnues et qui pour lui, tenaient de la science-fiction. Or, tout ceci était bel et bien réel. Après que les activités de la corporation et le rôle qu’il avait à jouer pour en préserver les intérêts lui furent dévoilés, Eames fût immédiatement plongé dans l’intense programme d’entraînement de l’Umbrella Security Service (=USS). Les différents modules de cette préparation opérationnelle de deux ans lui permirent de perfectionner ses compétences tactiques et militaires. Finalement, les moyens stratosphériques mis à disposition de l’USS grâce aux ressources quasi illimités d’Umbrella finirent par avoir raison  du scepticisme de leur nouvelle recrue.  

Finalement, Eames ne fît preuve d’aucun état d’âme. Les activités d’Umbrella ne servaient qu’à lui permettre de toucher sa solde à la fin du mois et peu importe si leurs activités étaient légales ou non. Seul l’argent n’avait de valeur dans ce monde de menteurs. Mais l'argent n'était pas le principal moteur. A vrai dire, Eames n'était plus qu'une coquille vide. Un homme formé pour éliminer les tout individu souhaitant s'immiscer dans les affaires d'Umbrella. Il ne se sentait dans son élément qu'au milieu de ses équipiers. En effet, il était impératif pour lui de se tenir occupé, sans quoi de vieux démons venaient ressasser les précédents épisodes de sa vie qu'il aurait préféré oublier. Une précédente vie qui n'avait eu aucun sens.  

A l’issue de ce stage de préparation opérationnelle en Mai 1998,  il reçu l'indicatif tactique "EAMES", puis fût pressenti avec six autres opérateurs de l’Umbrella Security Service pour être affecté à « l’U.S.S Echo Team » aussi appelée « Wardog » : une unité nouvellement créée après un audit de sécurité qui fût exigé par des investisseurs frileux. Cet audit pointait notamment du doigt le manque de proportionnalité dans les moyens employés par la corporation face aux simulations d'incidents impliquant des armes biologiques. En effet, la réponse interventionnelle d’Umbrella était jugé bien en deçà du danger provoqué par l’existence de telles armes. C'est ainsi que fût décidé la création de nouvelles unités pour l'U.S.S, et que le schéma d'intervention de la corporation ainsi que son maillage territorial fût révisé.

Le conseil d’administration d’Umbrella exigea que ces nouvelles unités, dont "Echo", soient pleinement aptes à être projetée sur le terrain pour le mois de Juillet 1998.

Les membres de l’équipe commencèrent immédiatement à s’entraîner ensemble, mais il manquait un chef opérationnel pour les commander. Karena LesProux fût recrutée en ce sens peu avant fin Juin mais fût finalement transférée à la "Delta". C'est finalement Jane Ripley, une autre femme, qui fût choisie pour commander l'unité.

Le 11 Juillet 1998, "Wardog" se voyait enfin à effectif complet, et était prête à l’emploi, mais malgré les années de préparations et le l'association de tels spécialistes au sein d'une même  unité, aucun d'eux n'était finalement préparé pour le cauchemar qui les attends


Dernière édition par Eames le Lun 20 Avr 2020 - 5:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: WARDOG Datafiles   WARDOG Datafiles Icon_minitimeLun 20 Avr 2020 - 5:18

L'évolution de Eames à travers les différents RP du forum se fera au travers de saisons et d'épisodes, à la manière d'une série télévisée.

Liste des épisodes :


SAISON 01

Episode pilote

Eames et ses camarades échouent lors d'une simulation consistant à récupérer un échantillon de virus aux mains de scientifiques ayant fait défection avec Umbrella. 


Episode 1 : Same Shit, Different Day

La cellule instruction du stage d'évaluation physique et opérationnelle auquel participe Wardog fait appel à un vétéran de l'Umbrella Security Service pour encadrer les exercices. Eames apprends à découvrir ses camarades.
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MessageSujet: Re: WARDOG Datafiles   WARDOG Datafiles Icon_minitimeMar 21 Avr 2020 - 12:51

Etat des relations



GHOST
||||||||||||||||||||
Relation professionnelle conflictuelle
Statut : [VIVANT]

" Tu sais, EAMES, ton avis ... "

WARDOG Datafiles Sans_t20

Profondément nihiliste, GHOST ne supporte personne, et les autres le lui rende bien. Pour lui, Eames est un nabot qui aboie plus fort qu'il n'agit, et comme pour le reste de l'unité, n'a que peu de considération pour lui. GHOST agit en permanence avec condescendance et méprise. Il existe peu de chance pour que les deux parviennent un jour à s'entendre tant le fossé qui sépare les deux hommes semble gigantesque.

L'aversion d'EAMES pour ce personnage fût creusée lorsqu'il fît semblant de lui paraître sympathique dans le simple but de charmer l'infirmière qui pansait les blessures du britannique. 



MIRAGE
||||||||||||||||||||
Relation professionnelle saine
Statut : [VIVANTE]

" Je n'ai jamais été une guerrière, je le suis devenue parce que c'était nécessaire. "

WARDOG Datafiles Mirage11

MIRAGE est une jeune femme agréable et intelligente doté d'un caractère conciliant. Il est surprenant qu'une femme de son apanage ai pu se retrouver chez les U.S.S, mais elle s'est battue pour sa place, allant jusque complètement revoir sa perception naïve du monde. Au cours de ses deux années de formation sur l'île de Rockfort, MIRAGE s'est forgée un caractère solide et prends désormais très à cœur son rôle de médecin au sein de l'unité. 

Sa relation avec Eames est saine. Ils ne se connaissent depuis peu, mais le britannique n'a jamais eu de problèmes avec sa camarade, et il est peu probable que MIRAGE soit à l'origine d'un retournement de situation.



MARSHAWN
||||||||||||||||||||
Relation professionnelle saine
Statut : [VIVANT]

" Fermez-là ! Tous les deux ! "


WARDOG Datafiles Pillar10


En l'absence de MOTHER, MARSHAWN est celui qui pourrait le plus se rapprocher d'un chef au sein de l'unité. Son professionnalisme et son sens des responsabilités sont deux piliers importants sur lesquels le groupe peut se reposer en toute circonstance. Toutefois, à vivre trop personnellement les échecs de l'unité, MARSHAWN nuit parfois au groupe. 


Il n'en reste pas moins un opérateur fiable et agréable lorsque tout se déroule comme le plan. Eames regrette toutefois qu'il n'intervienne que rarement dans les dramas que GHOST provoque régulièrement.

EAMES et lui semble partager les mêmes idéaux. C'est en tout cas ce qu'à sous-entendu CROSS. 

CROSS
||||||||||||||||||||
Relation professionnelle
Statut : [VIVANTE]

" Tu as beaucoup de qualités, c'est certain. Mais l’honnêteté n'en fait pas partie."

WARDOG Datafiles Cross11

CROSS se fait la plus discrète du groupe. Peu loquace, elle ne parle que rarement et se contente de mépriser GHOST lorsque ce dernier vient à s'en prendre à elle. Elle semble avoir un véritable don pour lire à travers les gens qui l'entourent. 

Toutefois, malgré qu'elle fasse preuve d'une certaine sagesse, son pragmatisme exagéré ne plaît pas vraiment à EAMES. De plus, elle semble avoir eu accès à certaines informations de sa vie antérieure, ce qui est contraire au règlement édicté par la compagnie. CROSS semble finalement réserver des surprises. 

Elle ne semble pas porter MARSHAWN dans son cœur. 


HUNK
||||||||||||||||||||
Légende de l'U.S.S
Statut : [VIVANT]

" Tu devrais retirer ça de ta main avant de l'abîmer ... "

WARDOG Datafiles Hunk11

Eames ne fût jusqu'à présent confronté qu'une seule et unique fois à celui qui se jouait de la mort et il ressorti de leur rencontre avec un couteau planté dans la main dans le cadre d'un test d'agressivité. 

Incapable de saisir la leçon de morale inhérente à l'insolence dont il fît preuve à l'égard d' HUNK, il considère ce geste comme résolument extrême et lui en veut de l'avoir humilié de la sorte. 
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MessageSujet: Re: WARDOG Datafiles   WARDOG Datafiles Icon_minitime

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