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 [Validé]EAMES, reporting

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Eames
Eames
U.S.S.
Messages : 33
MessageSujet: [Validé]EAMES, reporting   [Validé]EAMES, reporting Icon_minitimeMer 15 Avr 2020 - 20:35




© Arrogant Mischief sur Never Utopia
CODENAME : EAMES

« L'Homme est un loup pour l'homme. »


۞ NOM : Classifié
۞ PRÉNOM(S) : Classifié
۞ AGE : Classifié
۞ SEXE : Masculin
۞ NATIONALITÉ : Britannique
۞ GROUPE : Umbrella Corporation
۞ PROFESSION : Opérateur du Service de Sécurité d'Umbrella

۞ AVATAR :Tom Hardy
۞ DOUBLE COMPTE ? OUI (Mark Hoffman/Albert Wesker)
۞ ARME ET STYLE DE COMBAT : La formation de militaire du rang au sein de la British Army lui enseigna le maniement des armes à feu, le combat au corps-à-corps ert le forma également aux tactiques de guerres modernes. Toutes ces compétences se sont vues être perfectionnées au cours du stage de préparation opérationnelle qu'il suivi sur l'île de Rockfort afin d'intégrer le Service de Sécurité d'Umbrella.

DESCRIPTION PHYSIQUE
Type : Caucasien
Taille : 1,79m
Poids : 86 kg
Groupe sanguin O négatif
Silhouette : Athlétique
PSYCHOLOGIE DU PERSONNAGE
Classifié
SON HISTOIRE


Le Prince de Mayfair : chronique d’une enfance dorée

Né en 1977 au Royaume-Unis, celui que l'on appelle "Eames" grandit à Mayfair, un quartier chic de la capitale britannique constitué de maisons mitoyennes datant de l’époque géorgienne, d’hôtels de luxe et de grands restaurants gastronomiques mais également de zones commerçantes hauts de gammes où boutiques indépendantes, magasins de vêtements sur mesure de renommées mondiales et pubs traditionnels contribuent à l’animation et la fréquentation de cet arrondissent huppé de « The Old Smoke ».

Enfant unique d’un couple banal mais aux comptes en banque pleins à craquer, Eames eût une enfance sans histoire et ne manqua de rien durant se jeunesse. Sérieux et appliqué, il ne connût pas de difficultés particulières au cours des différents cycles d’enseignements, et il ne brilla pas non plus. Il obtint avec des résultats tout à fait honorables le « General National Vocational Qualification », puis le « A Levels ».

Dès qu’il pût monter à cheval, ses parents l’initièrent à l’équitation. Eux-mêmes cavaliers, c’était une tradition partagée par les deux familles que de transmettre les valeurs de cette pratique sportive aux générations amenées à leur succéder. D’un naturel sensible, et capable d’une rare empathie, Eames y trouva son compte et valida brillamment unes à unes les nombreuses certifications qui jalonnent le parcours d’un cavalier. Excellant dans chacune des disciplines qui composent cette activité, il voua toutefois une véritable passion pour le saut d’obstacle et le garçon aurait été tout à fait à même de vivre de sa passion en embrassant une carrière de sportif de haut-niveau.

C’est un chemin tout autre que choisit Eames lorsqu’il souffla enfin sa dix-huitième bougie. Une éducation conservatrice et stricte peut parfois avoir l’effet inverse de celui désiré, et si ses parents envisageaient pour lui une carrière dans la finance ou le droit international, c’est la porte d’un centre de recrutement des armées que poussa celui qui allait devenir la brebis galeuse de la famille. L’armée, c’est pour les bons à rien, comme s’évertuait à lui répéter son cher père.

La vie de prince, Eames y avait goûté et avait tiré parti des avantages que lui procurait cette situation, mais à l’aube de l’année 1995, l’envie de servir son pays et la promesse d’une aventure humaine était plus forte que tout.  
C’est l’année 1995 qui amorça la transformation de garçon à qui tout aurait pu réussir. Le jeune homme instruit et bien éduqué qu’était Eames ne se doutait pas encore qu’en l’espace de trois ans, il puisse avoir autant de sang sur les mains et de crimes à se faire pardonner.

Devenir un homme


Eames signa son contrat de militaire du rang début d’année 1995 et entame une formation initiale intense et rustique de 23 semaines au camp militaire des régiments d’infanterie de Catterick dans le North Yorkshire.

L’armée était une fabuleuse entité capable de rassembler les hommes issus de toutes les couches de la société sans distinction d’origine ou de classe sociale. Une école formidable mais impitoyable qui Au cours de ces 23 semaines interminables on lui inculqua le sens de la cohésion, du courage, du devoir, de la discipline, de l’intégrité et de la loyauté envers ses chefs. 23 semaines passées à se faire malmener par un encadrement intraitable qui lui démontra qu’un corps brisé n’avait rien de comparable avec un esprit en miettes. 23 semaines durant lesquelles on lui enseigna à se comporter en soldat. Il découvrit la survie en milieu hostile et naturel, coupé de toute logistique, le maniement des armes à feu et les procédures d’ouverture du feu. 23 semaines qui achevèrent de faire du cavalier prodige, un soldat.

La cérémonie de fin de stage, auquel il ne convia pas ses parents, acheva la transformation du cavalier prodige en soldat.

Celui qui est seul peut souffrir de ne pas être avec les autres, ou bien il est heureux en se disant que « Mieux vaut être seul que mal accompagné ». Cette fierté c’est la sienne, et il était inconcevable que ses parents gâchent par leur hypocrisie et leurs préjugés conservateurs, le caractère solennel de la magnifique cérémonie qui se déroula à l’aube de l’été 1995 et à l’issue de laquelle il se retrouva affecté au 1er Bataillon du Régiment Royal Irlandais (Royal Irish Regiment) basé à Tern Hill en Angeleterre.  

Eames coupa définitivement les ponts avec sa famille lors de son départ pour le régiment.

La Bosnie-Herzégovine, l’Irlande du Nord et les « Gueules brisées »

Le « Royal Irish Regiment » était un jeune régiment d’infanterie de ligne créé en 1992 et issu de la fusion entre deux corps d’armées : les « Royal Irish Rangers » et le « Ulster Defence Regiment ». Il était composé de deux bataillons en Angleterre assurant les permanences de projection à l’étranger, et d’une dizaine d’autres bataillons en Irlande du Nord, composés de locaux. Le régiment était particulièrement sollicité par le contexte irlandais tendu et le 1er bataillon assurait la projection de militaires en Ulster, relevés tous les trois mois. Il fût également projeté en Bosnie-Herzégovine durant le deuxième semestre de l’année 1995.

C’est donc dans un contexte particulier qu’Eames posa ses valises au 1er Bataillon. Entre les relèves en Irlande du Nord, les rotations imprévues dans certains territoires outre-mer et plus récemment l’intervention des forces de l’Alliance Atlantique dans le conflit bosnien, le régiment était sur les rotules et ses effectifs, éclatés aux quatre coins du globe.

Eames fût projeté avec sa section en Bosnie-Herzégovine moins de deux mois après son arrivée au régiment. La projection de nouvelle recrue faisait l’objet d’un encadrement très strict et la plupart du temps, les nouveaux venus se retrouvaient « au dépôt » pendant de longs mois, le temps d’assimiler le métier. Toutefois, le rapatriement de nombreux blessés força le commandement à s’adapter aux circonstances particulières de cet engagement opérationnel hors du commun. La section à laquelle appartenait le jeune homme fît donc parti de la relève trimestrielle.

En plus d’avoir été pris sous le feu à plusieurs reprises entre le mois de Juin et Août 1995, Eames participa à l’opération « Deliberate Force » qui consista au bombardement des positions militaires de l’armée  de la république serbe de Bosnie. Là encore, les forces de l’OTAN furent prises à parti après le déploiement de forces armées sur les territoires bombardés. Début octobre, les négociations sont entamées dans le but d’obtenir un cessez-le feu, toutefois, le processus semble piétiner du pied et la compagnie à laquelle est affectée Eames est prolongée sur le terrain jusqu’à la fin des négociations. Le 5 Octobre, le président américain Clinton annonce que les belligérants bosniaques ont conclu un accord de cessez-le feu pour une durée de soixante jours à compter du 10 Octobre. La compagnie de combat est voit sa durée de stationnement prolongée jusque cette date, puis est finalement relevée par la compagnie d’un autre bataillon.  

Ces quatre mois en Bosnie-Herzégovine laissèrent un goût amer et marquèrent son âme au fer rouge. Le souvenir des nombreuses exactions perpétrées contre les populations civiles, des charniers découverts dans le sillage des « Scorpions » et des nombreuses escarmouches auxquelles il prît parti déclenchèrent chez lui les premiers symptômes de ce qui sera diagnostiqué plus tard comme un stress post traumatique. Malheureusement, plutôt que de consulter un médecin de l’antenne médicale, Eames préféra garder pour lui les cauchemars qui hantaient ses nuits. Petit à petit, il sentait la naissance d’un étrange ressentiment au plus profond de lui-même.

En Janvier 1996, Eames fût projeté à Belfast, en Irlande du Nord. L’ingérence de l’OTAN dans le conflit bosniaque occupait souvent son esprit et balayait petit à petit tous les idéaux d’un jeune homme qui voyait ses repères sombrer.

Lors des relèves en Ulster, les militaires assistent systématiquement à de nombreuses réunions d’informations portant sur la situation générale dans leur secteur d’affectation, le danger que représentait l’adversaire ainsi que les différentes formes qu’il pouvait prendre. Malgré cela, Eames, lors de la traditionnelle tournée des bars du jeudi soir,  croisa le chemin de Sean O’Brien. Ce dernier se révéla faire partie de l’IRA et, l’alcool déliant les langues, après que Eames  ai confié ce qu’il avait traversé en Europe de l’Est l’année précédente, profita de la situation. Eames, tenu par un contrat de 3 ans, ne pouvait pas quitter l’armée,  mais l’irlandais lui fît la promesse d’une nouvelle vie loin du Royaume-Unis en échange de renseignements sur les activités britanniques à Belfast.

Horaires et itinéraires de patrouilles, transmissions de fréquences radios et vols de matériels de communications, Eames fît même entrer un agent de l’IRA au sein de sa base d’affectation. Pour chaque action entreprise pour le compte des républicains, Eames se faisait non seulement graisser la patte à hauteur d’un millier de livres sterling, mais il s’approchait également un peu plus à chaque fois d’un nouveau départ.

Mi-Mars, alors que la relève approchait, Eames rencontra O’Brien et réclama sa part du marché, à savoir son expatriation. O’Brien lui demanda un dernier service. Certains soldats anglais prenaient plaisir durant leurs patrouille à séquestrer et passer à tabac des locaux dans l’impunité la plus totale. Eames avait 10 jours pour les retrouver et fournir à l’IRA des informations permettant de les appréhender, sans quoi, il retournerai à Tern Hill lors de la relève trimestrielle.

Vexé d’avoir l’impression d’être mené en bateau, Eames ne garantit aucun résultat à l’irlandais et rentra en ville. Le soir-même, lors d’une soirée trop arrosée à la popote de la compagnie, Eames ayant l’alcool mauvais se retrouva à se battre avec un de ses camarades. Les deux hommes furent séparés avant qu’Eames ne soit définitivement défiguré. « Regarde-toi fiston », lui fît le gradé qui venait de mettre fin à la rixe. L’adversaire d’Eames ricana, essuyant sa bouche ensanglanté avant de déclarer « Une vraie gueule brisée. ».

C’est de cette manière que le jeune homme originaire de Mayfair apprit l’existence d’un club de combat clandestin « Les Gueules brisées ». Le sous-officier supérieur ne sembla pas gêné de lui apprendre qu’ils étaient à l’origine des rafles dont lui parlait O’Brien, ce qui d’ailleurs ne sembla déranger personne à la Compagnie. « Pas vu, pas pris » lui avait-il déclaré.

Sans foi, ni loi, Eames livra les Gueules brisées à l’IRA, puis obtint son ticket pour les Etats-Unis. Malheureusement, comme il s'en doutait, l’irlandais n’avait pas été totalement franc avec lui et à trois jours de la relève, O’Brien lui demanda de supprimer un journaliste local gênant. C'en était trop. Eames refusa de se salir les mains pour un autre mais l’irlandais nelui laissa pas le choix. Il séquestra le militaire et le drogua à l’aide d’une substance appelée le « Souffle du Diable », un mélange de deux substances dont l’inhalation provoque une perte de contrôle et de la mémoire. Eames, dans un état secondaire, fût déposé par l’IRA au domicile de sa cible et fût contraint de l’éliminer sous les yeux attentifs d’O’Brien qui se décida enfin à honorer sa part du marché.

Poursuivis par la police locale après le meurtre, O’Brien et Eames trouvèrent refuge dans l’une des nombreuses cachettes de l’IRA. Tandis que l’anglais était toujours sous les effets du puissant psychotrope, O’Brien le confia à un agent de la branche européenne d’Umbrella. La Corporation avait les yeux partout, en plus de tremper dans le conflit, et l’efficacité d’Eames pour la recherche du renseignement et la basse besogne ne leur échappa pas.

Umbrella Corporation, l’assurance d’une nouvelle vie …


Effectivement, Eames quitta clandestinement le Royaume-Uni à bord d’un cargo de fret mais il réalisa très vite que sa fuite tenait bien plus de l’enlèvement, car c’est contre son gré qu’il débarqua sur l’île de Rockfort.  A son arrivée, il eût le choix. Servir les intérêts de la corporation ou mourir.  Le constat était sans appel, et Eames se résigna à accepter de travailler pour cette société dont il n’avait jamais entendu parler.

Manipulations génétiques, virus mortels et armes biologiques étaient des notions qui lui étaient totalement inconnues et qui pour lui, tenaient de la science-fiction. Or, tout ceci était bel et bien réel. Après que les activités de la corporation et le rôle qu’il avait à jouer pour en préserver les intérêts lui furent dévoilés, Eames fût immédiatement plongé dans l’intense programme d’entraînement de l’Umbrella Security Service (=USS). Les différents modules de cette préparation opérationnelle de deux ans lui permirent de perfectionner ses compétences tactiques et militaires. Finalement, les moyens stratosphériques mis à disposition de l’USS grâce aux ressources quasi illimités d’Umbrella finirent par avoir raison  du scepticisme de leur nouvelle recrue.  

Finalement, Eames ne fît preuve d’aucun état d’âme. Les activités d’Umbrella ne servaient qu’à lui permettre de toucher sa solde à la fin du mois et peu importe si leurs activités étaient légales ou non. Seul l’argent n’avait de valeur dans ce monde de menteurs. Mais l'argent n'était pas le principal moteur. A vrai dire, Eames n'était plus qu'une coquille vide. Un homme formé pour éliminer les tout individu souhaitant s'immiscer dans les affaires d'Umbrella. Il ne se sentait dans son élément qu'au milieu de ses équipiers. En effet, il était impératif pour lui de se tenir occupé, sans quoi de vieux démons venaient ressasser les précédents épisodes de sa vie qu'il aurait préféré oublier. Une précédente vie qui n'avait eu aucun sens.  

A l’issue de ce stage de préparation opérationnelle en Mai 1998,  il reçu son nom de code "EAMES", puis fût pressenti avec six autres opérateurs de l’Umbrella Security Service pour être affecté à « l’U.S.S Echo Team » aussi appelée « Wardog » : une unité nouvellement créée après un audit de sécurité qui fût exigé par des investisseurs frileux. Cet audit pointait notamment du doigt le manque de proportionnalité dans les moyens employés par la corporation face aux simulations d'incidents impliquant des armes biologiques. En effet, la réponse interventionnelle d’Umbrella était jugé bien en deçà du danger provoqué par l’existence de telles armes. C'est ainsi que fût décidé la création de nouvelles unités pour l'U.S.S, et que le schéma d'intervention de la corporation ainsi que son maillage territorial fût révisé.

Le conseil d’administration d’Umbrella exigea que ces nouvelles unités, dont "Echo", soient pleinement aptes à être projetée sur le terrain pour le mois de Juillet 1998.

Les membres de l’équipe commencèrent immédiatement à s’entraîner ensemble, mais il manquait un chef opérationnel pour les commander. Karena LesProux fût recrutée en ce sens peu avant fin Juin mais fût finalement transférée à la "Delta". C'est finalement Jane Ripley, une autre femme, qui fût choisie pour commander l'unité.

Le 11 Juillet 1998, "Wardog" se voyait enfin à effectif complet, et était prête à l’emploi, mais malgré les années de préparations et le l'association de tels spécialistes au sein d'une même  unité, aucun d'eux n'était finalement préparé pour le cauchemar qui les attendait.


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Dernière édition par Eames le Jeu 16 Avr 2020 - 17:49, édité 2 fois
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Miranda Lawson
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MessageSujet: Re: [Validé]EAMES, reporting   [Validé]EAMES, reporting Icon_minitimeJeu 16 Avr 2020 - 11:42

J'ai tout lu [Validé]EAMES, reporting 2662576607
C'est bien écrit et détaillé, vu que tout ce qui relève à l'organisation militaire n'est absolument pas mon domaine j'avoue que j'ai du relire certains passages [Validé]EAMES, reporting 2662576607

Je classifie votre Fiche monsieur Classifié Classifié [Validé]EAMES, reporting 2662576607

Je te mets chez les rouges de ce pas [Validé]EAMES, reporting 1071211947
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Eames
Eames
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MessageSujet: Re: [Validé]EAMES, reporting   [Validé]EAMES, reporting Icon_minitimeJeu 16 Avr 2020 - 14:08

J'espère que tu n'a pas trop souffert. Merci Miranda [Validé]EAMES, reporting 3845856932
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Ada Wong
Ada Wong
Survivant(e)
Messages : 253
MessageSujet: Re: [Validé]EAMES, reporting   [Validé]EAMES, reporting Icon_minitimeJeu 16 Avr 2020 - 14:48

Un peu trop classifié à mon goût. happy
N'oublie pas que être schizophrène est toléré mais l'usage de Venom est interdit sur le forum. [Validé]EAMES, reporting 2333848537
Amuse-toi bien ^^
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Eames
Eames
U.S.S.
Messages : 33
MessageSujet: Re: [Validé]EAMES, reporting   [Validé]EAMES, reporting Icon_minitimeJeu 16 Avr 2020 - 17:49

Fiche mise à jour concernant Wolfpack.
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MessageSujet: Re: [Validé]EAMES, reporting   [Validé]EAMES, reporting Icon_minitime

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