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 Les origines du Mal : Partie finale [Ft. ADA WONG]

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Invité
Anonymous
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MessageSujet: Les origines du Mal : Partie finale [Ft. ADA WONG]   Les origines du Mal : Partie finale [Ft. ADA WONG] Icon_minitimeJeu 23 Avr 2020 - 18:49

[HRP : Ce RP a pour but d'exposer l'origine de la relation Ada/Wesker, il débute en deux parties distinctes spécifiques aux deux personnages impliqués, avant de n'en constituer qu'une seule et dernière au cours de laquelle seront révélées les raisons de cette sombre alliance conclue avant les terribles événements de l'été 1998.

Ci-dessous, vous lirez la troisième et dernière partie de ce rp commun aux personnages d'Ada et de Wesker. Veuillez trouver les deux parties solo du RP, essentielles à la compréhension de cette dernière, en cliquant sur les deux liens ci-dessous :


De plus, ce Rp comprends deux temporalités dans son récit. La première se déroule dans la période de l'évènement en cours, la seconde se déroule un mois plus tôt et sera rédigée en italique pour en faciliter la compréhension.]




" Prochainement, vous découvrirez les raisons qui ont amenées Ada et Wesker à collaborer ... "
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Invité
Anonymous
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MessageSujet: Re: Les origines du Mal : Partie finale [Ft. ADA WONG]   Les origines du Mal : Partie finale [Ft. ADA WONG] Icon_minitimeDim 26 Avr 2020 - 4:38

Spoiler:




16 Avril 1998 - Hôtel Apple Inn, Raccoon City


Wesker stationna son véhicule le long de trottoir opposé à la porte d'entrée de l'hôtel, devant ce qui semblait être un restaurant. Il tira le levier du frein à main et tourna la clé dans le neiman, coupant ainsi le contact. Le moteur cessa de ronronner et la lueur des deux phares laissa place à celle de l'unique lampadaire municipal, situé près de l'entrée de l'établissement hôtelier. 


- Bien, marmonna Wesker pour lui-même tandis qu'il retirait les clés du neiman et ouvrait la portière. La ville était paisible à cette heure-ci, l'aboiement constant d'un chien certainement agacé par le passage d'un voisin résonnait au loin, et parfois, l'accélération d'un véhicule venaient troubler la relative quiétude qui s'était emparée de cette banlieue du Midwest. Une fine brume enveloppait Raccoon de son voile fantomatique, et quelques gouttes de pluie éparses se perdaient ci et là. Wesker prît soin de raccompagner la portière de son véhicule dans le but de ne pas attirer inutilement l'attention. 


Alors qu'il s'apprêtait à traverser, un véhicule remonta l'avenue dans sa direction. L'intensité lumineuse des feux aveugla brièvement Albert qui détourna la regard. L'automobile continua de circuler en direction du centre-ville, passa devant lui, puis disparût un peu plus loin au détour d'une ruelle. 


Le grand blond traversa finalement la rue d'un pas assuré, puis s'arrêta sur le côté de la double porte permettant d’accéder à l'hôtel. Les deux battants étaient flanqués de lanternes à incandescence fixée à la paroi. Les ampoules semblaient fatiguées et n'émettait plus que l'ombre de la lueur resplendissante qu'elle était censées fournir. Wesker s'empara de son arme de poing, un Magnum de calibre .50 semi automatique à 7 coups "Lightning Hawk". Une arme exceptionnelle qu'il appréciait tout particulièrement, malgré son encombrement, pour sa puissance de feu dévastatrice. Il n'était pas encore chambré. Wesker pressa le bouton permet l'éjection du chargeur qu'il accueillit avec sa main, vérifia l'état des lèvres du chargeur puis l'enclencha à nouveau dans le puit. Ensuite, il rabattit discrètement la culasse de l'arme en arrière et la la relâcha. Celle-ci revint dans sa position d'origine dans un claquement métallique. Désormais chargée et chambrée, l'arme était prête à l'emploi. Il la replaça dans son étui, fixé à un harnais qu'il portait sous son manteau. 


Wesker poussa les deux portes et pénétra l'établissement hôtelier. Il traversa le sas d'entrée, un couloir de quelque mètres vide de tout, et se dirigea vers l'unique porte, flanquée d'un panneau interdisant d'en obstruer l'accès et de la laisser fermer en raison de son caractère coupe-feu. 


Albert tourna la poignée et découvrît l'immense réception composée d'un petit salon, face à lui, et du comptoir d'accueil à sa droite. L'endroit était désespérément vide. Malgré une décoration très chic, l'endroit ne payait pas de mine. Le salon était ridiculement agencé, un énorme tapis, sur lequel étaient disposés un fauteuil, un canapé, une table de chevet et une table basse. Dans le fond, une cheminée, qui, si son foyer se consumait aurait pu apporter un peu de chaleur à cet endroit qui n'aspirait pas à mettre à l'aise ses clients. Était-ce une volonté du propriétaire ou un ingérence du concierge ? Difficile à dire. Toujours était-il que l'endroit projetait une aura particulière. 


Il s'approcha du comptoir, derrière lequel une femme s'ennuyait fermement. 


- Toutes nos chambres sont occupées, déclara t-elle sans la moindre politesse, décrochant à peine ses yeux de la revue qu'elle parcourait d'un air las. Wesker ricana pour sembler sympathique. 
- Ne vous en faites pas, je viens simplement rendre visite à une amie, assura t-il d'un ton chaleureux. La jeune femme consulta sa montre.
- Une amie ? A cette heure-ci, un sourire goguenard se dessina sur ses lèvres. Wesker le lui rendit, feignant d'être gêné. 
- La chambre 207, s'il vous plaît ? demanda t-il ensuite après avoir racler sa gorge. La concierge lui indiqua la direction, un air amusé illuminait son visage. 
- Bonne soirée monsieur, déclara t-elle enfin, mais ne faites pas trop de bruits. Elle se pencha sur le comptoir, nous avons quelques clients un peu difficiles. 


Wesker hocha la tête puis se dirigea vers le premier étage. La numérotation des chambres était curieuse, celles du premier étage commençaient directement en 200, non en 100. Depuis le premier étage, il avait une vue plongeante sur la salle de réception. Il jeta un œil en contrebas, en direction du comptoir, la jeune femme s'était replongée dans sa lecture. Par chance, la chambre 207 se trouvait pile au dessus du comptoir, à l'abri d'éventuels regards indiscrets de la part de cette réceptionniste. 


Albert s'assura de l'absence de juda, puis  essaya de tourner la poignée de la porte bien évidemment verrouillée. Il frappa discrètement à celle-ci afin de ne pas déranger les autres clients et colla son oreille pour déceler du bruit à l'intérieur de la chambre. Quelqu'un approchait d'un pas leste, puis s'immobilisa. Ada Wong semblait se montrer méfiante.


Qu-est ce que tu caches ... se demanda intérieurement Wesker. Il toqua une seconde fois, avec l'index uniquement. 


- C'est moi, John, chuchota t-il finalement afin que son timbre de voix ne le trahisse pas. Sans un bruit, il s'empara de son arme et attendit patiemment. 
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